Par un arrêt du 6 avril 2022, la Cour de cassation est venue poser les limites au pouvoir d’une assemblée de revenir sur une décision votée en décidant qu’une décision postérieure ne peut venir s’y substituer :

Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une affaire dans laquelle les comptes corrigés de 2001 à 2016 d’une SCI avaient été approuvés par quinze assemblées générales tenues les 24 février et 22 avril 2016.

Certains associés demandent l’annulation de ces décisions votées.

La Cour de cassation décide d’annuler ces décisions aux motifs suivants :

Cass. Civ. 3 6 avril 2022 n° 20-21861